Une femme dominatrice et son mari soumis
Je m’appelle Carole, j’ai 39 ans. Mon mari et moi sommes très heureux en amour. Fidèle et passionné, il est un mari respectueux et protecteur. Mais cette facette d’homme doux et tendre n’a pas toujours ses effets positifs. Et cela, surtout dans nos relations sexuelles. Nos ébats étaient trop mous et trop calmes à mon goût. Et puis un jour, le désir et l’insatisfaction m’incitent à fréquenter un amant. Toutefois, je n’osais pas encore sauter le pas.
Un jour, j’ai découvert son historique de navigation. Il passait des heures à regarder des vidéos pornos d’homme soumis et de . Par ailleurs, il était attiré par le candaulisme et le voyeurisme. Je le savais car ces termes revenaient toujours dans son historique. Après m’être documenté, je commençais à comprendre. Mon mari aimait, ou du moins fantasmait sur le fait de me voir coucher avec un autre.
La situation m’inquiétait et me ravissait en même temps. En effet, je pensais en tirer profit. Après avoir longuement réfléchi, mais aussi suite à une série de sexe décevante, je me suis mise à chercher le candidat idéal. Un homme qui serait apte à me faire jouir comme pas possible, mais surtout rendre mon mari jaloux.
Une quête d’amant facile et rapide
J’ai alors posté une annonce sur plusieurs sites de rencontres spécialisés. Rapidement, j’ai collecté de nombreux profils. Mais pour bien faire mon coup, j’ai choisi un beau black bien équipé. Grand et musclé, cet homme était tout le contraire de mon mari. Et ce qui plus est, il était plus jeune que moi.
Après quelques échanges, je lui ai fait part de mes intentions. Il serait sous mes ordres et ferait tout ce que je lui demanderai. Mon but était non seulement de rendre mon mari jaloux, mais surtout de l’humilier, car il semble aimer cela. Mis en connaissance, le beau black a accepté. Il ne me restait plus qu’à organiser la rencontre avec mon mari.
J’ai décidé de jouer franc jeu, et de faire la rencontre chez nous, dans notre salon. Pour le jour J, j’ai commandé une petite tenue presque pareille à celle de la star de porno sur la dernière vidéo que mon mari a regardée. Une combinaison en cuir moulant avec des bottes cuissardes, les lèvres rouges et les ongles rouges, je n’attendais plus que la sonnerie.
Mes premiers pas entant que femme dominatrice
Mon mari était assis dans le canapé comme à son habitude. Mon amant est venu se présenter à la porte. J’ai fait une entrée triomphale en descendant les marches pour venir à côté de la porte. Avec un regard fixe et sérieux, un ton de voix assez sévère, j’ai ordonné à mon mari d’ouvrir. Sous le choc, il a pris quelques minutes avant de réagir.
J’ai demandé aux deux de fermer les rideaux et de se mettre à genoux devant moi. Mon amant black suit à la lettre tout ce que je disais. Mon mari, quant à lui, tente de comprendre et n’obéit pas immédiatement. Je l’ai fixé et je lui ai dit qu’il allait à partir d’aujourd’hui connaitre ce qu’est la domination féminine. Me fixant des yeux, il a commencé à s’agenouiller en signe de soumission.
J’ai ordonné à mon amant de se déshabiller pendant que je me mettais assise devant mon mari. Je lui ai offert ma main en lui disant : « baise ma main ». Je voulais commencer doucement avec lui.
Une fois que mon amant était nu, j’ai senti l’excitation m’envahir. Je sentais ma chatte mouiller même avec la combinaison. J’ai demandé à mon amant de se lever et je l’ai dévoré du regard. Et puis j’ai dit à voix haute : « celle-là au moins je vais la sentir » tout en retirant ma main des lèvres de mon mari pour caresser la queue de mon amant.
Pendant que je pelotais les lourdes couilles de mon amant, je fixais mon mari des yeux. Je voyais qu’il bandait et qu’il aimait la scène. Je lui ai balancé : « prends-en de la graine, papi ! »
J’ai ordonné mon amant de défaire la fermeture de ma combinaison. Je lui tourner le dos et je me suis penché. Une fois la combinaison ouverte, je lui ai ordonné de me lécher la chatte. J’aimais avoir le pouvoir, j’aimais être servie, et j’aimais façonner mon plaisir.
En me penchant, j’ai vu la grosse queue de mon amant, prête à me donner du plaisir. Ne tardant plus sur les préliminaires, j’ai ordonné à ce qu’il me pénètre avec un mouvement lent au début et d’accélérer au fur et à mesure. Mais tout cela, avec les mains derrière le dos.
Quand sa queue commençait à écarter ma chatte, j’ai sorti un gémissement qui a fait sursauter mon mari. Ma respiration est rythmée par les coups de queue de mon amant jusqu’à ce qu’il jouissait. Mon mari se sentait surement humilié et excité en même temps. Moi je prenais du plaisir et je compte bien recommencer.
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